Oπαρών δέκατος τρίτος τόμος της σειράς με τίτλο: «Η Μηχανική της Μετάβασης στον Εκπαιδευτικό Σχεδιασμό και την Ανάπτυξη Σχολικών Μονάδων: Θεωρίες, Συστήματα, Δομές, Διεργασίες, Λειτουργίες, Μοντέ-
λα, Εργαλεία, Προγράμματα, Τεχνολογίες» απευθύνεται, όπως και όλοι οι προηγούμενοι, σε στελέχη της εκπαίδευσης όλων των βαθμίδων και όλων των τύπων, σε απόφοιτες/ αποφοίτους και φοιτήτριες/τές των ΠΜΣ «Μο- ντέλα Σχεδιασμού και Ανάπτυξης Εκπαιδευτικών Μονάδων» και «Διδακτική Θετικών Επιστημών και ΤΠΕ στην Εκπαίδευση: Διεπιστημονική Προσέγ- γιση», αλλά και σε όλες/ους τις/τους φοιτήτριες/τές και σε εκπαιδευτικούς όλων των βαθμίδων και τύπων της Εκπαίδευσης όπως και σε κάθε ενδια- φερόμενο για ζητήματα εκπαιδευτικού σχεδιασμού ως περιγραφής, σχεδια σμού, εφαρμογής και αποτίμησης οργανωμένων εκπαιδευτικών δράσεων και παρεμβάσεων.
Préface du livre (extrait) :
Depuis l’Antiquité, les fondements philosophiques de l’existence n’ont pas changé. L’homme est toujours un animal social. Il éprouve le besoin grégaire de se regrouper avec ceux qui lui ressemblent, pour former des tribus, des communautés, des territoires ou des sociétés. Ces regroupements par affinité élective ont pour objet de faire de la politique, de consommer, d’étudier, de se divertir, etc. Ils s’effectuent aujourd’hui à distance, grâce aux progrès technologiques et à l’avènement du téléphone mobile, comme l’explique à juste titre Théodora Miere dans son ouvrage. Quelles sont les conséquences de ce changement de mode de vie ? Facteur d’émancipation et de liberté pour les uns, le téléphone mobile incarnerait le temple de la modernité comme une nouvelle agora. Facteur d’aliénation pour les autres, le téléphone mobile ferait perdre tout sens critique par la disparition de l’écrit au profit de l’image dans la communication. Victime des écrans, la raison cèderait sa place à l’émotion, avec le risque de remettre en question le progrès scientifique comme fondement de notre civilisation.
Assens C, Coleno F (2023), Organiser un réseau d’acteurs pour préserver/valoriser le bien commun, in Anne Albert-Cromarias, Therese Albertini et Patrice Terramorsi (eds) Dynamiques collectives & Territoires : 9 défis pour des territoires compétitifs, innovants et durables, Editions ISTE, 27-39.
https://www.istegroup.com/fr/produit/dynamiques-collectives-et-territoires/
Assens C, Perrin C (2022), La coopération en management public, in M. Benzerafa-Alilat, D. Lamarque G. Orange (eds) Encyclopédie du management public, Institut de la Gestion Publique et du Développement Economique - Editeur, 752 p.
Accès en ligne : https://books.openedition.org/igpde/15291
Trop de protection sur l'emploi tue l'emploi ?
Le dernier ouvrage de François Gerber (avocat au barreau de Paris, docteur en sciences de gestion) aborde cette question centrale dans l'économie. Il propose une méthode novatrice de calcul du coût du travail, fondée sur la notion de passif social virtuel, à savoir l'ensemble des coûts cachés, différés dans le temps, qui s'accumulent tout au long de la carrière, et se déclenchent au moment de la rupture du contrat de travail. A partir de situations concrètes, François Gerber analyse la disparition de plusieurs PME , en raison de la législation sur la protection de l'emploi qui pèse sur le passif social virtuel et contribue pour partie à la désindustrialisation :
Entreprise "Linéa BTP" : le dirigeant n’a pas les moyens de licencier préventivement 30 salariés pour sauver son outil de production, en raison des coûts différés dans le temps (passif social virtuel) que sa trésorerie ne peut pas supporter. Il préfère attendre le point de non-retour avec la liquidation de l’entreprise pour retrouver des mesures conventionnelles de soutien et d’accompagnement collectif des organismes sociaux.
Entreprise "Philippe" : le poids du « passif social virtuel » empêche la cession d’entreprise pour un dirigeant si le passif social devient supérieur au prix de cession, ce qui est le cas lorsque la pyramide des âges des salariés augmente. Dans ce cas, le dirigeant préfère procéder à la liquidation amiable de la société en procédant au licenciement direct des salariés plutôt que de vendre à perte l’outil de travail.
Préface de Christophe Assens sur l’ouvrage de François Gerber (2021), Coûts du travail et législation sur la protection de l’emploi, Editions Humensis.
Résumé de l'ouvrage :
Les entreprises françaises sont l'objet d'un paradoxe. Le coût du travail est aujourd'hui l'élément essentiel qui détermine leur stratégie – et décide en particulier des délocalisations – mais son existence échappe au débat. En effet, campée sur une posture qui vise à défendre le modèle social français et deux de ses composantes principales, le contrat à durée indéterminée et la législation sur la protection de l'emploi, l'espace institutionnel et sociétal n'est pas disposé à admettre une controverse sur ce sujet. Ce livre transgresse cet interdit hexagonal.
Assens C, Bouchez JP (2021), La démocratie « concertative » dans le groupe Hervé, in Julien Granata & Annabelle Jaouen (eds), Management libéré - 7 entreprises dévoilent leurs méthodes : agilité, performance durable et antifragilité, Dunod, 131-152.
Résumé : Le Groupe Hervé fonctionne en l’absence de pouvoir hiérarchique. La co-construction et la surveillance collective des règles de la concertation conditionnent la liberté et la prise de responsabilité des collaborateurs. Ce cas nous permet de mettre en évidence le dispositif de concertation qui permet aux managers de maîtriser leur sens naturel de l’autorité, l’habitude de commander, le devoir de décider à la place des autres, la part de narcissisme et de passion qui entoure leur action.
Nekka H, Assens C (2020), L'importance des relations entre encadreurs-encadrés dans l’aboutissement d'un projet de recherche type DBA : une contribution mobilisant le savoir actionnable, in Frimousse S et Perreti J.M (eds), Produire du savoir et de l’action : le vade-mecum du dirigeant-chercheur, Collection ASMP, Editions EMS, 100-117.
Résumé : Ce chapitre propose une analyse en deux temps. Dans un premier temps, il expose les obstacles rencontrés dans la création de DBA à l’université pour des raisons idéologiques. Dans un second temps, le chapitre se termine par une note plus opérationnelle en soulignant l’importance de la qualité des relations entre encadreurs-encadrés dans la co-production d’un savoir actionnable.
Responsible Organizations in the Global Context
Current Challenges and Forward-Thinking Perspectives
Offers a diversity of approaches to responsibility and accountability in the global context
Unlike previous books that examine focus on a particular theme of responsibility (CSR, individual responsibility, or ethical issues in the digital economy), this book presents a comprehensive perspective of these topics
Differentiates between responsible organizations and economically performing organizations.
https://ideas.repec.org/h/spr/sprchp/978-3-030-11458-9_12.html
Cet ouvrage sur le management et le numérique propose, en 100 notions, un parcours évidemment non exhaustif de l'impact de la révolution numérique sur les pratiques, usages, méthodes et outils du management. La "transformation digitale" (ou numérique) est devenue une priorité stratégique pour beaucoup d'entreprises comme d'administrations qu'il s'agit d'initier, d'accompagner, de prolonger. Il faut intégrer de nouveaux outils, de nouveaux comportements, de nouveaux modes de relations avec les clients, les usagers, les consommateurs, les actionnaires, les citoyens. Le numérique transforme les métiers et les compétences à valoriser, les modes collaboratifs s'imposent, des organisations deviennent plus ou moins "plates" ou "latérales" , les "silos" implosent. Il ne s'agit pas uniquement de chercher à obtenir de meilleures performances collectives, ces évolutions dépassent très largement les aspects technologiques et questionnent notre responsabilité sociétale. Nous sommes témoins et acteurs des profondes mutations sociales, culturelles, organisationnelles, idéologiques et avons à maîtriser ces transformations parfois radicales et très rapides d'écosystèmes d'affaires comme de services. Plus de quarante professionnels, consultants, experts, enseignants, chercheurs, ont permis la réalisation de cette publication : Thomas Alix, Christophe Assens, Mourad Attarça, Gilles Balmisse, Pierre Bauby, Radhia Ben Messaoud, Benjamin Benoit, Jean-Pierre Bouchez, Tarik Boussisse, Thierry Burger-Helmchen, Thierry Côme, Delphine De St Julien, Mathieu Dunes, Jérôme Dupuis, Joëlle Ensminger, Maria Fuhrlmann, Michel Germain, François Goxe, Jean-Roch Houllier, Nicolas Jullien, Vincent Lecorche, Marc Lippa, Christophe Lips, Carine Luangsay-Catelin, Stéphane Magne, Audray Ludivine Mavoungou Yesset, Muriel Michel-Clupot, Dany Mont, Jean-Luc Moriceau, Hongxia Peng, Gérald Péoux, Christelle Perrin, Sophie Raedersdorf, Louis-Caleb Remanda, Isabelle Reyre, Serge Rouot, Sana Rouis Skandrani, Mounir Soudani, Edouard Tessier, Guillermo Velazquez-Valadez, Marc Veyrat, Michael Viegas Pires & Marcello Vitali-Rosati.
Assens C, Coleno F (2015), Un réseau public-privé pour le bien commun : la création de la pomme Ariane®, in Galabov A. et Rouet G. (eds), Services publics, entreprises publiques, quelle place pour les citoyens ? Collection Local & Global, Editions l’Harmattan, 101-120.
Résumé : Résumé : face au réchauffement climatique et à l’augmentation de la démographie mondiale, il est important de concevoir une agriculture durable qui préserve les ressources naturelles (biosystème), qui maintient les rendements de production pour les agriculteurs et fournit un bénéfice équitable à tous les maillons sur la chaîne de valeur agro-alimentaire (écosystème), qui tient compte des attentes sociales du citoyen à l’égard des entreprises agricoles, pour éviter la délocalisation des emplois et préserver une production locale dans des circuits courts (sosiosystème). Dans ce chapitre, nous présentons la filière de la pomme Ariane® gérée par une collaboration entre un organisme de recherche public l’INRA, et des acteurs privés. De ce point de vue, l’agriculture durable à l’image d’un bien commun, ne peut pas être administrée ni par l’Etat ni par le marché, mais par un réseau public-privé.
Assens C, (2013) "De la connivence dans les affaires", in Hermel P et Corbel P (Eds.), Le management des évolutions organisationnelles et stratégiques, collection Entreprises & Management, Editions l'Harmattan, 207-224.
Résumé : Dans la vie des affaires, les décideurs sont confrontés à de nombreuses incertitudes qu’il est parfois difficile de contrôler. Parmi ces incertitudes, les risques relatifs à l’aléa moral ou à l'opportunisme des partenaires demeurent élevés, en dépit des garanties contractuelles. Pour se prémunir contre ces risques, les décideurs ont tendance à fonctionner en réseau dans un univers de connivence où prédomine le "contrat moral", en lieu et place du contrat juridique. Ce phénomène de connivence dans l’économie ne cesse de prendre de l’importance, tant dans la littérature académique à travers l’étude des réseaux sociaux, que dans la pratique des affaires au sein des districts industriels ou des pôles de compétitivité, à titre d’exemple. Ce chapitre explore les enjeux stratégiques qui découlent du maillage d'entreprises animées par un sentiment de connivence.
Assens C, Bouteiller C (2006), "Mesurer la création de valeur réticulaire", in Azan W., Bares F., Cornolti C. (Eds), Logiques de création : enjeux théoriques et management, Paris, Editions l’Harmattan, collection Gestion et Economie, chapitre 7, 159-182.
Résumé : ce chapitre a pour objet de présenter des indicateurs de mesure de la création de valeur dans un réseau d’entreprises. La création de valeur provient du capital intellectuel des membres du réseau, à partir des mécanismes souvent informels qui rendent les alliances récurrentes et qui facilitent les transferts de compétences ou de ressources au sein du réseau.
Assens C (2007), "Les enjeux de la démocratie participative à Parthenay", in Hervé M, D’iribarne A, Bourguinat E. (Eds), De la pyramide aux réseaux : récits d’une expérience de démocratie participative, Paris, Editions Autrement, 306-309.
Résumé : Il ne faut pas idéaliser le management en réseau. Le réseau introduit des avancées dans le jeu démocratique, mais il a aussi ses limites dans la gestion politique de la vie locale ou dans la gestion d’entreprise.
Le mode d’organisation en réseau crée finalement de la complexité et de l’ambivalence qu’illustre la cohabitation de risques opposés. Il offre à la fois de conduire à une convergence excessive (risque d’endogamie) ou à une divergence excessive avec des acteurs opposés au réseau ou revendiquant une autonomie en dehors du réseau et renonçant ainsi à la préférence communautaire (risque d’exogamie).
Bourguinat E, Hervé M, Assens C, D’Iribarne A (2007), "Existe-t-il un modèle démocratique commun pour l'entreprise, l'association, la ville ?", les Annales de l’Ecole de Paris du Management, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris, vol XIII, 223-231.
Assens C, Abittan Y (2011), "Le réseau social : la face cachée des ressources humaines", in Marmoz L et Attias-Delattre V (Eds), Ressources humaines, force de travail et capital humain : des notions aux pratiques, Editions l'Harmattan, collection "Educations et Sociétés".
Résumé : Il est habituel d'examiner le rôle d'un acteur en fonction du pouvoir de décision que lui confère son niveau de responsabilité dans l'entreprise. Or, au‐delà de cette dimension officielle, chaque acteur est enclin à développer des compétences relationnelles au sein d'un organigramme clandestin, i.e le réseau social, pour échapper à l'arbitraire hiérarchique, pour mieux contrôler l'incertitude de l'environnement, ou enfin pour mieux valoriser des complémentarités de compétences avec d'autres acteurs, sans entrave administrative ou réglementaire.
Abittan Y, Assens C (2012), "Résilience territoriale et diasporas, benchmark de trois systèmes d’innovation : Silicon Valley, Israël, Maroc", in Hamdouch A, Depret M-H, Tanguy C (Eds.), Mondialisation et résilience des territoires, Presses de l'Université du Québec, Collection géographie contemporaine.
Assens C (2009), "Le réseau : concept ou métaphore ?", in Ocler R (Ed.), Fantasmes, mythes, non-dits et quiproquo : analyse de discours et organisations, Paris, Editions l’Harmattan, collection "conception et dynamique des organisations", 175-202.
Résumé : observer les réseaux, consiste bien souvent à traquer des phénomènes invisibles en sciences sociales, compte tenu de l’immatérialité des relations et de l’intangibilité des frontières. De fait, il n’existe pas d’activités économiques, sociales ou politiques qui ne soient tributaires de façon directe ou indirecte des réseaux, sans pour autant qu’il soit facile de les observer et de les identifier, en raison de cette omniprésence. Dès lors, il convient de s’interroger sur la portée scientifique de la notion de réseau, en cherchant à savoir si cette terminologie peut être employée comme un concept en dépit des obstacles théoriques, ou au contraire si elle doit être cantonnée au stade d’une métaphore visant à révéler notre ignorance sur des mécanismes de solidarité se déroulant en dehors des institutions officielles.
Assens C, Phanuel D (2001), "Les modes de gouvernement de la démocratie locale", in Le Duff R, Rigal J.J, Schmidt G. (Eds.), Démocratie et management local, Paris, Editions Dalloz, 49-68.
Résumé : au sein d'une démocratie locale, le maire joue un rôle primordial. dans une démocratie représentative, il centralise le pouvoir de décision de façon plus ou moins autoritaire, au risque de paralyser le débat citoyen. Dans une démocratie consultative, il accepte d'écouter et de conculter régulièrement les administrés afin de mieux faire accepter ses décisions. enfin, dans une démocratie en réseau, il prend le risque de partager son pouvoir en suscitant des initiatives. Dans ce dernier cas, la difficulté consiste à concilier l'autonomie individuelle avec la cohésion collective sans nuire à l'autorité du maire, et sans décourager l'initiative populaire.
Assens C (2005), "Un cas de formes différentes de partenariat : Bombardier", in Kalika M, Helfer J.P, Orsoni J (Eds.), Management Cas et applications, Paris, Editions Vuibert, 272-277.
Assens C (2005), "Les fusions : Vivendi Seagram Canal +", in Kalika M, Helfer J.P, Orsoni J (Eds.), Management Cas et applications, Paris, Editions Vuibert, 266-272.
Assens C (2005), "L’intensité concurrentielle : le cas Compagnie Générale des Eaux", in Kalika M, Helfer J.P, Orsoni J (Eds.), Management Cas et applications, Paris, Editions Vuibert, 95-101.
Assens C, (2013) "Gouvernance d’un réseau : le management d’une démocratie sans frontières ", in Kodakos A et Kalavasis F (Eds.), Social networking and schools : bridges and meanings, collection Topics in Educational design, Athena, Diadrassi Editions, 13-30.
Assens C, (2013) " ΔΙΑΚΥΒΕΡΝΗΣΗ ΔΙΚΤΥΟΥ: ΜΑΝΑΤΖΜΕΝΤ ΜΙΑΣ ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΑΣ ΧΩΡΙΣ ΣΥΝΟΡΑ ", in Kodakos A et Kalavasis F (Eds.), Social networking and schools : bridges and meanings, collection Topics in Educational design, Athena, Diadrassi Editions, 31-48.
Assens C, Baroncelli A, Froehlicher T (2001), "Guidare la trasformazione organizzativa : l’evoluzione di Vivendi verso la new economy", in Processi di terziarizzazione dell'economia e nuove sfide al governo delle aziende, Milano, McGraw-Hill, 142-163.
Baroncelli A, Assens C (2005), La riconfigurazione dei processi decisionali e delle forme di coordinamento: uno studio longitudinale del gruppo Vivendi Universal " , in Aa.Vv, Atti del XXVII Convegno AIDEA, La riconfigurazione dei processi decisionali nel quadro della competizione, Ed. Giappichelli, Torino.