Bruno Dufay : De formation scientifique (doctorat en Intelligence Artificielle), Bruno Dufay a déroulé sa carrière dans le secteur des services informatiques avec des postes de management et de développement commercial en créant une PME puis en évoluant dans des grands groupes en France et à l’international. Début 2013, il se met à son compte pour s’orienter vers le conseil en évolution de carrière, l’outplacement et la formation. Passionné de sociologie et de technologies, nourri par ses activités de coaching, il a publié en 2018, L’individualiste hyperconnecté - Individualisme et technologies conduisent-ils au totalitarisme ? (éditions l’Harmattan). Depuis cette parution il donne des conférences sur des thèmes reliant individualisme, numérique, intelligence artificielle et le monde du travail.
Synopsis : les technologies numériques ont bouleversé le monde du travail : hiérarchie, réseau, communication, processus, relations se transforment ; de nouveaux business et de nouvelles façons de travailler apparaissent ainsi qu’une administration qui se dématérialise et gagne en efficacité. Les bénéfices attendus sont énormes. Ne sont-ils pas surestimés ? Ou plutôt ne sous-estime-t-on pas les difficultés, en particulier les suppressions d’emplois dues à l’intelligence artificielle. A-t-on bien pris en considération les attentes des travailleurs ? Pour répondre à ces questions, nous repartirons des évolutions sociologiques de ces 30 dernières années : non seulement elles expliquent les raisons du succès de ces technologies, mais elles permettent aussi d’appréhender les nouvelles relations « entreprises – individus » qui se mettent en place.
Conférence-débat le 20 mars 2017 sur le thème : " Entreprendre au Féminin : quels enjeux, quelles barrières ?
", avec la participation de Ines Gabarret (Professeur à l’ESSCA), Emmanuelle Guillerot (Devexter Business Development), Joséphine Kollmannsberger (Maire de Plaisir, VP de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, VP du département des Yvelines), Catherine Mary (proviseur du Lycée de Villaroy à Guyancourt et responsable associative de l’AFAE, Hélène Thomas (créatrice d’entreprice et présidente de l'association Elles réussissent), Corinne Péron (Agent d'Assurance SwissLife).
Co-Animation avec Benjamin Vedel (MCF à l'IUT de Velizy), Armel Dubois-Nayt (MCF à l'IUT de Velizy, chargé de mission sur l'égalité homme-femme à l'Université de Versailles)
Le laboratoire LAREQUOI (ISM-UVSQ) a organisé le jeudi 4 février 2016, en coopération avec l'ADT-INET et AgroParistech (UFR Gestion du Vivant et Stratégies Patrimoniales), un symposium sur le thème : « Le manager territorial : quel rôle dans le débat public ? » dans les locaux de l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, avec des interventions notamment de Jean-Paul Delevoye Président du Conseil Economique Social et Environnemental et Michel Hervé Président du groupe Hervé.
Le jeudi 7 novembre 2013 ont eu lieu les rencontres du management de l'ISM-UVSQ « Michelin : Culture et internationalisation - Politiques et pratiques associées à la gestion des richesses humaines ».
L'évènement, organisé par l'ISM, a réuni étudiants, collaborateurs et exterieurs, autour du témoignage de Jean-Michel Guillon. Occupant actuellement le poste de Directeur groupe personnel, ce dernier est revenu sur son parcours professionnel au sein du groupe, et a répondu aux nombreuses questions des participants et des deux animateurs, le Dr. Christophe Assens et le Dr. Jean-Pierre Bouchez.
L’Association des Dirigeants Territoriaux de l'INET et le laboratoire de recherche LAREQUOI de l’Institut Supérieur de Management (ISM) à l’Université de Versailles St Quentin en Yvelines organisent le 5 février 2013 un symposium sur le thème : « Quel rôle du manager dans la coopétition des territoires ? ». Destiné aux chercheurs en management public, aux élus et aux dirigeants des collectivités, ce symposium se déroulera dans les locaux de l’Université à Saint-Quentin en Yvelines
Thales, leader mondial des systèmes d’information critiques sur les marchés de la défense et de la sécurité, de l’aérospatial et du transport, emploie 70 000 collaborateurs à travers plus de 50 pays. Cette dimension internationale est source d’avantage concurrentiel pour l’entreprise, car elle lui permet de nouer des relations de proximité avec ses clients, d’être au plus près de partenaires industriels et scientifiques potentiels, ainsi que d’avoir accès aux grands programmes locaux. Dans le même temps, l’exploitation de cette source d’avantage concurrentiel nécessite une parfaite coopération entre les entités qui composent le groupe, ce qui implique de développer un langage et des pratiques communes.
L’université d’entreprise du groupe Thales est au cœur de ces problématiques. Présente dans sept pays (Allemagne, Australie, États-Unis, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni), et dispensant ses formations dans plus de vingt, Thales Université est un acteur majeur dans la constitution et la diffusion d’un savoir-faire et d’un savoir-être communs. Cette université d’entreprise assure ainsi un double rôle :
• d’identification et de diffusion des best practices (axe savoir-faire). Une telle démarche permet de capitaliser les retours d’expériences et de mutualiser les savoir-faire, pour ainsi accroitre les synergies au sein des organisations du groupe, et in fine d’améliorer sa performance globale.
• de diffusion d’une culture commune (axe savoir-être), ce socle commun de valeurs et d’engagements visant à renforcer la cohésion du groupe.
Dans ce contexte, la dimension culturelle du management est au cœur des activités de Thales université. Ainsi, l’exemple de cette université d’entreprise invite à une réflexion autour de trois axes :
Comment concilier les besoins antagonistes de standardisation et de différenciation des pratiques à travers les différentes entités d’un groupe international ? Autrement dit, comment gérer la tension entre le besoin de capitaliser au niveau corporate sur des pratiques ayant fait leurs preuves d’une part, et le besoin d’adapter ces mêmes pratiques pour tenir compte des attentes et lectures culturelles locales d’autre part ?